Participez à la Journée mondiale pour la fin de la pêche et des élevages aquacoles!
Chaque particulier, chaque association est invité à prendre part à la Journée mondiale pour la fin de la pêche et des élevages aquacoles et à organiser des événements le dernier samedi de mars pour défendre les animaux aquatiques – même en ligne ! Toutes les contributions comptent et sont appréciées.
Agir
-
Organisez un événement public et médiatisé : un happening, un Cube de la vérité, une marche ; une projection, une exposition, une conférence, ou même un colloque ; tenez un stand, une table de presse ; distribuez des tracts, collez des affiches dans votre ville, etc. Vous pouvez trouver des exemples variés en allant consulter les vidéos et les photos des éditions précédentes.
-
Pour ce genre d'actions, la couverture médiatique peut faire une grande différence : si un ou deux médias en parlent, votre message aura une portée beaucoup plus large, alors pensez à envoyer des communiqués de presse !
-
Afin de faire passer le message et d'inspirer de nouveaux militants, il est également important de prendre des photos, quelle que soit l'ampleur de votre événement. Montrez le cadre de votre action – affiches, banderoles, costumes – et en plus de partager sur les réseaux sociaux, n'oubliez pas d'envoyer vos meilleures vidéos et photos à info@end-of-fishing.org afin que nous puissions les ajouter à nos albums et publications pour une couverture médiatique mondiale.
-
Annoncez l'action sur les réseaux sociaux à l'avance, et partagez-la sur les agendas en ligne (L214, Connect For Animals) pour vous assurer que les autres militants en soient informés !
-
Enfin, pour évaluer l'impact contrefactuel que votre événement a pu avoir, certaines mesures informelles peuvent être utiles, comme : compter le nombre de militants qui participent et évaluer s'ils semblent avoir été motivés ou non par l'action, suivre vos interactions avec les passants en notant à la fois le sentiment initial (positif ou négatif) et leur perception finale de la question, et bien sûr, juger le ton des articles qui parlent de l'événement.
-
-
Créez une œuvre d’art sur les animaux aquatiques, que vous soyez chanteur-euse, musicien-ne, sculpteur-trice, illustrateur-trice, peintre, graphiste, vidéaste, chorégraphe, danseur-euse, cuisinier-e, youtubeur-euse, acteur-trice, humoriste, etc., et diffusez-la en ligne ou dans les médias. Vous pourrez trouver des exemples sur notre page Artists for aquatic animals. N'oubliez pas de consulter les statistiques pour évaluer combien d'individus ont été touchés par votre art et quelles ont été leurs réactions.
-
Faites connaître cette initiative, en la diffusant sur les réseaux sociaux, dans les milieux végétariens et véganes, chez les militants pour les droits des animaux, dans la mouvance écologiste, etc. ; en envoyant des communiqués de presse aux médias expliquant que vous soutenez cette Journée mondiale, et pourquoi c’est important (c’est une manière de la faire connaître : les journalistes pourraient vouloir vous interviewer, ou interviewer l’équipe organisatrice).
-
Cherchez et partagez sur les réseaux sociaux du contenu sensibilisant et éduquant sur la question des animaux aquatiques : des vidéos, des photos, des articles, des sites, etc. Utilisez des hashtags comme #JMFP, #WoDEF (World Day for the End of Fishing and Fish Farming) et #EndFishing pour diffuser le message. Observez quels types d'engagement et de réactions reçoivent différentes approches de ce sujet (nombre de likes, ton des commentaires...) afin de mieux comprendre quel genre de publications améliore efficacement l'attitude des gens envers les animaux aquatiques sentients.
-
Lancez des campagnes culturelles pour faire connaître les animaux aquatiques et la violence qui leur est infligée. Par exemple, nous avons une exposition sur ce thème, au sujet de laquelle vous pouvez nous contacter à l’adresse info@end-of-fishing.org si cela vous intéresse. Vous pouvez voir des exemples de panneaux sur nos pages La pêche et les élevages aquacoles, Les animaux aquatiques sentients, et Le spécisme. Si vous organisez ce type d'événement, il peut être très instructif de partager un sondage à la fin pour voir comment les participants ont été impactés.
-
Lancez une campagne de pression contre une forme d’exploitation en particulier : contre la vente de homards et de crabes vivants pour être ensuite ébouillantés ; contre la pêche au vif ; contre les nouveaux élevages de poulpes ; contre la pêche de loisir ; contre la consommation de crevettes, etc. Certaines de ces campagnes, quand elles sont bien organisées, peuvent mener à des victoires partielles ou globales, et permettent, au-delà de leurs issues, d’attirer l’attention du public et des médias sur la question des animaux aquatiques ou même des invertébrés. Les campagnes peuvent être locales (boycott de certains commerces, pression sur les mairies, etc.) ou nationales (pression sur la grande distribution, les chaînes commerciales, les législateurs, les partis politiques, etc.). Si vous organisez une campagne de ce genre, nous serions très intéressés d'être informés de son résultat, même longtemps après la date officielle de la JMFP !
-
Visez à inclure les animaux aquatiques dans votre activisme tout au long de l'année. Soulignez leur sentience et parlez de leur exploitation lorsque c'est pertinent, faites des recherches sur la pêche et l’élevage aquacole dans votre pays pour pouvoir dénoncer les préjudices que ces industries causent aux animaux, et ne les excluez pas des estimations d'animaux exploités par les humains ou tués pour la consommation chaque année.
-
Soyez attentifs aux mots que vous choisissez : bien que les médias parlent parfois des « militants pour les droits des animaux », des notions telles que le spécisme et la sentience sont encore trop peu connues. En ce qui concerne les animaux aquatiques en particulier, il est important d'utiliser un langage :
-
qui souligne leur individualité (« arrêtons d'exploiter et de tuer des animaux aquatiques »), tout en évitant les formulations qui amalgament ces animaux et leur environnement (ex.
« protégeons nos océans »), les placent au même niveau que les plantes (ex.« protégeons la vie marine »), ou les désignent comme des objets (ex.« n'épuisons pas les ressources halieutiques ») ; -
qui inclut les poissons d'eau douce, les crustacés et les céphalopodes : « animaux aquatiques » est plus inclusif que
« animaux marins », et « élevages aquacoles » couvre l'élevage de crustacés et de céphalopodes, contrairement à« élevages piscicoles ».
-
-
Nous soutenir financièrement : l'association La Question aquatique, en France, prend en charge la logistique générale de cette campagne mondiale (site, création des premiers matériels militants comme des tracts ou l'exposition itinérante, contacts avec d'autres associations...), et toute contribution financière est utile. Nous aimerions pouvoir salarier une personne à plein temps pour développer la campagne.
-
Nous aider : traduction, secrétariat... toute aide bénévole est bienvenue !
-
Rester en contact : bien que seulement une poignée de bénévoles s'occupe de la campagne, nous aimons avoir de vos nouvelles ! Il est important que nous sachions ce que vous prévoyez, que nous ayons un lien vers vos événements et votre site web, que nous sachions comment vos projets évoluent et comment nous pouvons vous aider. Après coup, n'oubliez pas de remplir le formulaire que nous vous enverrons pour nous donner un bref compte rendu du déroulement de votre événement, et bien sûr, pensez à partager vos vidéos et photos avec nous !
Annoncez votre action !
Nous contacter : info@end-of-fishing.org